Le sous-titre de cet article est « Leveurs de mal et institutions médicales dans le nord des Alpes ».
J’ai connu un leveur de mal, il y a bien quinze ans. Et c’est exactement ce qui est décrit là : il ne faisait jamais, jamais payer, et considérait son don comme quelque chose à redonner derrière. En revanche lui fonctionnait au contact (mais je ne l’ai vu faire qu’une fois).
Je dois avouer que fermement opposée à l’homéopathie et consorts (ayant pourtant été « élevée avec » :P ), je reste bouche bée devant les coupeurs de feu. Probablement parce qu’à l’opposé de l’homéopathie, des fleurs de Bach, etc, il n’y a aucun business de construit autour.